Fruit de plus de 25 ans de recherches sur l’astrologie, l’astromancie, les arts divinatoires, l’hermétisme et les sciences occultes en générale, Anaghra Raochah (avestique : les astres immortels) expose la doctrine astrologique des Mages en passant par la Chaldée, la Mésopotamie et la Perse antique.

De nombreux, manuscrits inédits, en persan, en pehlevi, en anglais et en arabe ont étaient sollicités et nombreux passages ont étaient traduits pour reconstituer cet immense puzzle qu’à était la doctrine de l’astrologie Judiciaire (Ahkām Īlm al-NoJoom).
Des anecdotes véridiques et historiques impliquant la prédiction des astrologues royales servant dans la cour des grands souverains de l’antiquité, et le rôle décisif des astrologues et de l’astrologie dans l’orientation des grands courent politiques et religieux, accompagne le lecteur tout au long du livre.
Le livre contient une série de révélations liées aux cycles astrologiques des 12 millénaires connus aujourd’hui seulement d’une poignée d’initiés à travers le monde, et qui annonce de grands changements dans les années qui suivent.

Pour compléter les parties plus techniques en astrologie, comme les planètes, leurs vertus, leurs fonctions et leurs emplacements à travers les signes et les maisons, l’auteur se réfère à quelques uns des plus grands astrologues de l’antiquité, comme Abu Mashar de Balkh, Kūšyār Ibn Labbān, Al-Kindi, Ibn al-Izra, Al-Qazwini, mais aussi des auteurs comme ; docteur Arcandam, Henri Rantzau, Auger Ferrier, Robert Fludd et Paracelse.

Chaque tome est joliment illustré et contient plus de 150 gravures et illustrations rares et pour certains inédits qui appartiennent à la collection privée de l’auteur. On retrouve également à la fin du tome II, une série de tableaux astrologiques rares et précieux que chaque amateur d’astrologie devrait impérativement consulter, et notamment pour la première fois la liste complète des fameuses conjonctions de Saturne et de Jupiter à commencé par l’an 185 av-JC et finissant le 9 Juin 2199.

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